
Proverbes chinois

jeudi 15 décembre 2005, par
Autre proverbes mis en ligne : Proverbes du monde
- On peut être intelligent toute sa vie et stupide un instant.
- Plus les sentiments sont distants, plus les politesses sont nombreuses.
- Il est plus facile de déplacer un fleuve que de changer son caractère
- il faut imiter la source qui ne tarit pas et non l’averse qui inonde la montagne.
- Les trente premières années se passent à ne pas pouvoir se réveiller, les trente suivantes à ne pas pouvoir s’endormir.
- Ne vous mettez pas en avant, mais ne restez pas en arrière.
- Où il y a un avantage, il y a nécessairement un inconvénient.
- Connaitre son ignorance est la meilleure part de la connaissance.
- Si vous ne voulez pas qu’on le sache, mieux vaut encore ne pas le faire.
- Pour bien faire, mille jours ne sont pas suffisants, pour faire mal, un jour suffit amplement.
- Point n’est besoin d’élever la voix quand on a raison.
- Il est plus facile de devenir ami au hasard d’une rencontre que de le rester dans la vie.
- Ne plus lire depuis longtemps, c’est comme perdre un ami important.
- Être homme est facile, être un homme est difficile.
- Qui fait l’âne ne doit pas s’étonner si les autres lui montent dessus.
- Mieux vaut les critiques d’un seul que l’assentiment de mille.
- quand on n’a rien à se reprocher dans la journée, on ne craint pas que les fantômes viennent hurler à la porte au milieu de la nuit.
- La nuit parait courte dans le plaisir, les veilles semblent longues dans la solitude.
- Des paroles carrées n’entrent pas dans des oreilles rondes.
- Le savant étudie les sages sans les égaler, le sage qui étudie arrive au degré suprême.
- Si perçante soit la vue, on ne se voit jamais de dos.
- Quand une parole est lâchée, même quatre chevaux seraient en peine pour la rattraper.
- Le mariage est comme une place assiégée ; ceux qui sont dehors veulent y entrer et ceux qui sont dedans veulent en sortir.
- Tout le monde aime la flatterie, chacun se méfie de la franchise.
- Connaitre son ignorance est la meilleure part de la connaissance.
- Un ami c’est une route, un ennemi c’est un mur.
- Les excès tuent plus surement que les épées.
- On ne peut pas ne pas y croire, mais pas la peine d’y croire totalement.